Où je me tiens : « On ne peut pas s’attendre à ce que la paix s’installe comme par magie du jour au lendemain. Chacun doit participer à sa consolidation »

Saba Ismail a commencé à se consacrer à la consolidation de la paix au Pakistan alors qu’elle avait quinze ans. Selon elle, « les idées qu’on peut avoir des jeunes sont un obstacle majeur à leur participation à la consolidation de la paix, car leur action n’est pas prise au sérieux ». Avec le climat d’insécurité accrue, c’est encore plus difficile pour les jeunes femmes. Pourtant, elle espère que la diversité sera célébrée et que chacun participera à la consolidation de la paix.

Date:

Saba Ismail. Photo: Angela Catlin

Quote

Je viens de Peshawar, une province du nord-ouest du Pakistan où les extrémistes et les groupes radicaux sont très actifs. Je suis allée dans une école privée, mais l’intolérance religieuse faisait pourtant partie intégrante de ce qu’on y apprenait. On nous enseignait que c’était un péché de manger dans le même plat que les non-musulmans ou même de leur serrer la main.

S’il n’y avait eu mon père, j’aurais grandi en croyant à ces histoires, que le jihad est une question de justice. » 

Lisez le récit complet en anglais ►