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Mettre fin aux MGF est essentiel pour assurer aux filles le contrôle de leur propre vie
jeudi 4 février 2021
À l’occasion de la Journée internationale de tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines, le 6 février, faites connaissance ici avec cinq survivantes et activistes qui réclament que toutes les filles et les femmes fassent entendre leur voix et disposent personnellement du choix et du contrôle de leur vie et de leur corps.
jeudi 4 février 2021
Natalie Robi Tingo, 28 ans, est la fondatrice et la directrice exécutive de Msichana Empowerment Kuria, une organisation communautaire dirigée par des femmes dans les zones rurales du Kenya qui s’emploie depuis 2015 à mettre fin aux mutilations génitales féminines (MGF) en s’attaquant à ses causes profondes et en favorisant l’autonomisation des femmes et des filles.
mercredi 3 février 2021
Cette Journée internationale de la tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines est un moment propice pour mener le changement partout où nous avons une voix et de l’influence ; de financer les approches qui ont fait leurs preuves et de soutenir les organisations féminines pour le faire ; de demander des comptes pour les actions communautaires et étatiques ; de fournir un soutien essentiel aux services de santé et sociaux pour les survivantes de MGF ; et d’écouter les adolescentes et les jeunes femmes et leur permettre de décider de ce qui touche à leur propre vie et à leurs corps.
jeudi 6 février 2020
Déclaration conjointe du Dr Natalia Kanem, Directrice exécutive de l’UNFPA, d’Henrietta H. Fore, Directrice exécutive de l’UNICEF, de Phumzile Mlambo-Ngcuka, Directrice exécutive d’ONU-Femmes et Dr Tedros Adhanom Directeur général de l'OMS, à l’occasion de la Journée Internationale de la Tolérance Zéro à l’égard des Mutilations Génitales Féminines
Déclaration : Prendre des mesures pour éliminer les mutilations génitales féminines d’ici à 2030
mardi 5 février 2019
Dans une déclaration conjointe à l’occasion de la Journée internationale de tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines, la directrice exécutive d’ONU Femmes Phumzile Mlambo-Ngcuka, la directrice exécutive du FNUAP Natalia Kanem et la directrice exécutive de l’UNICEF Henrietta H. Fore ont réaffirmé leur volonté de mettre fin à cette violation des droits humains.
lundi 4 février 2019
À l’occasion de la Journée internationale de tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines, le 6 février, voici quatre femmes qui, parmi tant d’autres, luttent pour que les filles n’aient plus à subir des MGF.
jeudi 15 novembre 2018
En collaborant avec les chefs traditionnels, ONU Femmes et ses partenaires sont en train de créer une dynamique en faveur d’un engagement à l’échelle du continent pour mettre fin au mariage des enfants et à la mutilation génitale féminine.
mardi 27 février 2018
Jaha Dukureh, ambassadrice de bonne volonté régionale d’ONU Femmes pour l’Afrique, est une militante au franc-parler qui dirige le mouvement visant à éliminer les mutilations génitales féminines (MGF) et les mariages d’enfants.
lundi 5 février 2018
En cette Journée internationale de la tolérance zéro pour les mutilations génitales féminines (MGF), ONU Femmes annonce la nomination de la célèbre militante Jaha Dukureh de Gambie comme son Ambassadrice de bonne volonté régionale. Mme Dukureh va se consacrer au soutien d’ONU Femmes dans ses efforts pour mettre fin aux mutilations génitales féminines (MGF) et au mariage des enfants en Afrique, en mettant l’accent sur la mobilisation des jeunes.
Déclaration : « Les mutilations génitales des femmes supprime leur droit à l’égalité »
lundi 5 février 2018
Déclaration de Mme Phumzile Mlambo-Ngcuka, Secrétaire générale adjointe des Nations Unies et Directrice exécutive d’ONU Femmes, à l’occasion de la Journée internationale de la tolérance zéro pour les mutilations génitales féminines (MGF), le 6 février 2018
mercredi 15 novembre 2017
À l'échelle mondiale, au moins 200 millions de filles et de femmes vivant aujourd'hui ont subi une forme quelconque d'excision ou de mutilation génitale féminine (MGF). La Sierra Leone affiche l'un des taux de mutilation génitale féminine les plus élevés au monde, affectant neuf femmes et jeunes filles sur dix , dont beaucoup ont à peine cinq ans. Lors de la crise Ebola de 2014, un moratoire a été...
mardi 14 novembre 2017
« Beaucoup de filles quittent leur maison avec rien de plus que les habits qu’elles portent », raconte Apaisaria Kiwori, tout en demandant à celle dont c’est le tour de cuisiner de remuer la casserole de haricots rouges et de riz pour le dîner.
vendredi 3 février 2017
Alors que l’on constate une baisse générale de la fréquence des mutilations génitales féminines (MGF) dans différents pays, la croissance démographique rapide des pays où les MGF sont pratiquées risque de ralentir cette avancée – à moins que les efforts visant à éliminer une telle pratique soient renouvelés à la lumière des recherches récentes et intensifiés sans plus tarder.
Où je me tiens : Assétou Touré
mercredi 9 mars 2016
Survivante de mutilations génitales, Assétou Touré, femme Malienne de 49 ans, a consacré la plupart de sa vie à la lutte contre cette pratique néfaste.
vendredi 5 février 2016
Dans une déclaration à l’occasion de la Journée internationale de la tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines, la Directrice exécutive d’ONU Femmes, Phumzile Mlambo-Ngcuka a souligné l’importance des efforts collectifs pour éradiquer une fois pour toutes les MGF.
Journée internationale de tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines
jeudi 4 février 2016
Survivante de mutilations génitales, Assétou Touré, femme Malienne de 49 ans, a consacré la plupart de sa vie à la lutte contre cette pratique néfaste, commençant avec ses quatre filles. Depuis 2011, avec le financement de la France, ONU Femmes appuie un programme promouvant les droits des femmes et la prise en charge des violences basées sur le genre, y compris les excisions, au Mali.
jeudi 7 mars 2013
Press release by UNICEF, UNFPA, UN Women, WHO, United Nations Foundation and civil society organization. Between 2011 and 2020, more than 140 million girls will become child brides, according to United Nations Population Fund (UNFPA).
mercredi 27 février 2013
La journaliste camerounaise Chi Yvonne Leina, qui milite pour les droits des femmes, a fondé et coordonne « Gender Danger », une organisation communautaire de femmes qui se bat pour mettre un terme à la pratique consistant à repasser les seins des filles, au Cameroun. Elle assistera à la réunion de la CSW cette année en tant que correspondante du réseau médiatique « World Pulse », dans l'espoir de pouvoir ainsi sensibiliser le public et nouer des partenariats qui aideront son organisation non gouvernementale à élargir ses actions de prévention du « repassage des seins » au Cameroun. Dans le cadre de la série « ... raconte » d'ONU Femmes, nous vous présentons son témoignage concernant une pratique qui consiste à repasser les seins des jeunes filles dans ce pays.
Népal : Les rescapées de la violence par brûlures reconstruisent leur vie
vendredi 15 février 2013
Dans un pays où l’on estime que 50 pour cent des cas de suicides font suite à des violences par brûlures, une ONG appuyée par le Fonds d’affectation spéciale des Nations Unies pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes aide les rescapées des agressions par brûlures à accéder aux traitements, aux conseils et à l’aide juridique nécessaires.
mercredi 13 février 2013
La radio communautaire utilise la puissance de ce média, mais la redéfinie en vue de donner la parole aux communautés les plus marginalisées. Elle créé une plateforme non commerciale, dont les membres ordinaires des communautés rurales, souvent des femmes, possèdent et produisent le contenu qui sera diffusé à la radio.