Ce résumé souligne les conclusions de l’examen du Secrétaire général de l’ONU des progrès mondiaux en matière d’égalité des sexes 30 ans après l’adoption de la Déclaration et du Programme d’action de Beijing de 1995. S’il fait état d’avancées, telles que les lois anti-discrimination et les plans climatiques tenant compte du genre, il note aussi la persistance de la discrimination basée sur le genre et met en lumière l’importance continue du programme, y compris pour atteindre les objectifs de développement durable.

Partant de l’examen des progrès du Programme d’action de Beijing, réalisé à l’occasion de son trentième anniversaire, ONU Femmes a défini un Programme d’action Beijing+30. Il se compose de six actions clés visant à accélérer l’avancement du Programme d’action et des Objectifs de développement durable. Ces actions accélèrent l’égalité en libérant les femmes et les filles de la pauvreté et en amplifiant leur voix, leurs choix et leur sécurité.

ONU Femmes présente les résultats de la phase pilote du programme 3R au Rwanda, Sénégal et en Afrique du Sud centré sur le travail de soins non rémunéré, domestique et communautaire. Les lecteurs et lectrices sont invitées à explorer comment les dialogues politiques fondés sur des données probantes, les plans de développement locaux et les efforts d’atténuation du changement climatique peuvent contribuer à réorienter les interventions en faveur des femmes.

Concerted, urgent action is needed to improve the knowledge base and strengthen responses to gender-related killings (femicides/feminicides) and other forms of gender-based violence against women and girls. This report presents global and regional estimates in 2023, available time trends and country data, and selected practices for preventing femicides.

Une évaluation indépendante examine l’impact et l’efficacité de la première phase du programme 3R : « Approches transformatrices pour reconnaître, réduire et redistribuer le travail de soins non rémunéré dans les programmes d’autonomisation économique des femmes » au Rwanda, Sénégal et en Afrique du Sud. Ce résumé illustre les réalisations, les stratégies et les défis rencontrés afin d’informer la continuité et la reproduction du programme dans d’autres contextes.

Ce rapport fournit des informations sur les mesures prises par les États Membres et les activités menées dans le système des Nations Unies pour éliminer toutes les formes de violence à l’égard des femmes et des filles. Il met en lumière les tendances récentes, les évolutions et les pratiques prometteuses en la matière, et formule des recommandations concrètes pour éliminer ce type de violence, et plus particulièrement celle facilitée par les technologies.

Ce rapport met en évidence les dernières données et preuves relatives aux tendances en matière d’égalité entre les sexes. Il constate que le monde ne respecte toujours pas ses engagements à l’égard des femmes et des filles : aucun indicateur de l’objectif consacré à l’égalité des sexes n’a encore été atteint. Le rapport insiste sur le coût élevé de l’absence d’investissements dans les droits des femmes, et défend la prise de mesures radicales pour accélérer le changement.

Ce rapport fournit des informations sur les mesures prises par les États Membres et sur les activités menées au sein du système des Nations Unies pour éliminer toutes les formes de traite des femmes et des filles. Le rapport porte sur les efforts faits pour lutter contre le problème. On y trouve des recommandations sur les moyens de renforcer les approches contre la traite des personnes, prévoyant une action judiciaire contre les trafiquants et la protection des victimes.

Le présent rapport est le deuxième rapport annuel soumis par la Directrice exécutive de l’Entité des Nations Unies pour l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes sur la mise en œuvre du Plan stratégique pour 2022–2025. Il s’agit d’un rapport combiné, qui met en évidence les principaux résultats des deux premières années de mise en œuvre du Plan et intègre les conclusions et recommandations de l’examen à mi-parcours.

Ce document présente les efforts émergents visant à répondre aux besoins des femmes et des filles en matière de soins non rémunérés, du travail domestique et communautaire dans le contexte de changement climatique. Il examine la manière dont ce dernier perturbe l’économie des soins et intensifient le travail non rémunéré des femmes. Ses recommandations visent à rendre la prise en charge des personnes et de la planète une préoccupation centrale.

Génération Égalité est le principal effort mondial visant à libérer la volonté politique et à accélérer les investissements et la mise en œuvre en faveur de l’égalité des sexes. À mi-parcours de Génération Égalité, ce deuxième rapport démontre, grâce à une analyse convaincante de nouvelles données, d’études de cas et d’exemples évocateurs, que Génération Égalité prend de l’ampleur et fournit une plateforme commune pour aborder les questions clés d’égalité des sexes de notre époque.

Ce rapport présente les dernières données sur l’égalité entre les sexes dans le cadre des 17 objectifs de développement durable, en mettant l’accent non seulement sur le niveau de progression, mais aussi sur la probabilité d’atteindre l’égalité entre les sexes au vu de la trajectoire actuelle. Cette année, le rapport recommande en particulier d’accroître considérablement les investissements nationaux et le financement international en faveur de l’égalité entre les sexes.

Ce rapport, rédigé par ONU Femmes et le PNUD, présente les difficultés auxquelles se heurtent les femmes tout en servant de feuille de route aux interventions et réformes politiques ciblées. Il introduit deux nouveaux indices : L’indice d’autonomisation des femmes (WEI) mesure le pouvoir et la liberté des femmes de faire leurs propres choix et L’indice mondial de parité entre les sexes (GGPI) évalue les disparités entre les sexes dans certaines dimensions clés du développement humain. Ensemble, ces deux indices permettent d’évaluer de manière exhaustive les progrès réalisés par les pays en matière d’égalité entre les sexes.

Ce rapport est le premier soumis par la Directrice exécutive au Conseil d’administration d’ONU Femmes sur la mise en œuvre du Plan stratégique 2022–2025. Il présente les premiers résultats et montre que des progrès positifs ont été accomplis au cours de la première année de mise en œuvre, notamment en ce qui concerne les indicateurs communs et complémentaires que l’Entité partage avec d’autres organismes, fonds et programmes des Nations Unies.

La carte « Femmes en politique : 2023 », créée par l’Union interparlementaire (UIP) et ONU Femmes, présente de nouvelles données sur les femmes occupant des postes de direction et dans les parlements nationaux au 1er janvier 2023. Les données montrent que les femmes sont sous-représentées à tous les niveaux de prise de décision dans le monde et que la parité entre les sexes dans la vie politique est loin d’être atteinte.

Ces recommandations sont les premières du genre et soulignent le rôle essentiel que jouent les femmes migrantes défenseuses des droits humains pour garantir les droits des personnes en déplacement. Les femmes migrantes défenseuses des droits humains comprennent les femmes, les filles et les personnes de genre différent de tout âge qui promeuvent et protègent les droits humains des personnes en déplacement, qu’elles soient elles-mêmes migrantes ou non, et qu’elles s’identifient ou non comme des femmes défenseuses des droits humains.

Cette publication est un outil pratique destiné aux acteurs qui souhaitent mettre en place un système efficace d’intégration de la budgétisation sensible au genre (BSG) dans le processus budgétaire annuel de l’Etat, tels que les députés, le personnel parlementaire, les commissions, les caucus de femmes parlementaires, et d’autres acteurs, y compris ONU Femmes ou d’autres entités de l’ONU qui pourraient vouloir initier et soutenir un rôle plus important des parlements dans la BSG.

Le projet soutient la promotion des droits des femmes par l’intégration de la dimension de genre dans les efforts de prévention de l’extrémisme violent (PEV). Ce soutien consiste à accroître la participation des femmes au discours sur la sécurité et la PEV dans différentes plateformes et mécanismes pertinents. En plus d’élargir la base de connaissances sur le genre et l’extrémisme violent en menant des recherches localisées et des activités de sensibilisation systématiques, l’inclusion des organisations communautaires et des OSC dirigées par des femmes dans divers processus intergouvernementaux visant à prévenir l’extrémisme violent est assurée.

Cette note d’orientation analyse et recommande des actions pour optimiser l’utilisation de la Cellule afin de renforcer l’agenda femmes, paix et sécurité, avec un focus sur la justice de genre. Elle met en valeur la Cellule comme un mécanisme clé de coordination pour un État de droit sensible au genre, permettant aux Nations Unies de promouvoir efficacement l’égalité des genres et les droits des femmes.

Lors du Forum Génération Égalité en 2021, les leaders et partenaires mondiaux se sont engagés à éliminer les inégalités entre les sexes et à financer et mettre en oeuvre des lois, des politiques et des programmes pour atteindre les actions et objectifs prioritaires établis dans le Plan d’accélération mondial pour l’égalité des sexes. Ce rapport met en lumière la nature des engagements et évalue comment chacun est assorti de progrès mesurables. Il met en évidence les lacunes et les tendances, et note les domaines dans lesquels des travaux supplémentaires sont nécessaires.